Rapide présentation
La majeure partie de son territoire est situé sur l'isthme centre-américain, encadré par la mer des Caraïbes à l'est et l'océan Pacifique à l'ouest et au sud, bordé au nord par le Nicaragua et au sud-est par le Panama, et qui comprend également l'île Cocos située dans l'océan Pacifique, à plus de 500 kilomètres des côtes du pays. Il a pour capitale San José qui comptait environ 334 000 habitants en 2015. La langue officielle est l'espagnol et la monnaie le colon. Sa devise est «Vivan siempre el trabajo y la paz» («Que vivent pour toujours le travail et la paix!») et son drapeau est constitué de cinq bandes horizontales respectivement bleue, blanche, rouge, blanche et bleue.
Le territoire costaricien est occupé par les Amérindiens dès la Préhistoire avant d'être découvert par Christophe Colomb en 1502. Colonisé par les Espagnols du XVIe siècle au XIXe siècle, le Costa Rica acquiert son indépendance en 1821. Depuis le 1erdécembre 1948, le Costa Rica est un pays neutre et est devenu la première nation du monde à avoir constitutionnellement supprimé son armée. C'est en partie pour cette raison que le Costa Rica est souvent surnommé «la Suisse de l’Amérique centrale». Dès lors, le pays se Amérique centrale par son modèle de développement donnant la priorité à l'éducation, à la santé et à la protection de l'environnement.
NOTA: En raison du manque de temps, le récit de notre voyage viendra plus tard, pas avant notre retour.
ALAJUELA du 20 au 22 décembre 18
20 décembre
Au départ de CANCUN, notre vol n'est pas direct, nous décollons à 8 heures 20 de CANCUN en direction de PANAMA, le vol dure 1H20. A l'aéroport de PANAMA, nous arrivons à 10 heures 40. Nous repartons à 11 heures 30, après 1H10 de vol, l'avion se pose à SAN JOSE à 11 heures 40. Merci les décalages horaires entre le YUCATAN et PANAMA plus 1 heure et entre PANAMA et le COSTA RICA moins 1H.
Les formalités d'immigration effectuées, nos sacs récupérées, nous retirons à un distributeur (ATM) 150 000 CRC soit l'équivalent de 220 €. L'aéroport international se trouve entre SAN JOSE et ALAJUELA, il est très proche de la ville de ALAJUELA. Nous sortons de l'aéroport et rejoignons la station de bus qui se trouve à environ 200 mètres. Nous prenons un bus pour ALAJUELA 1200 CRC soit 1,76€ pour deux, le taxi est dix fois plus cher, pour le même trajet. A ALAJUELA, la station de bus se trouve en plein centre-ville, nous marchons les 800 mètres qui nous sépare de notre hostel.
Hébergement: HOSTEL TROTAMUNDOS 16 500 CRC/nuit la chambre double (24,2 €) avec petit déjeuner compris et SDB commune. Chambre simple mais propre, bon accueil, assez calme et bon PDJ, pas de climatisation.
Après notre installation, nous allons en ville manger dans une pâtisserie. Ensuite nous allons à la gare routière voir les horaires des bus pour notre excursion du lendemain au parc national du volcan POAS et pour la capitale SAN JOSE dans deux jours.
Après nous nous rendons successivement, au marché municipal (mercado), sur la place, visiter le musée historique culturel JUAN SANTA MARIA, la place centrale, la cathédrale, pour finir au parc JUAN SANTA MARIA. Le soir nous mangeons dans un restaurant un Casado (voir photo), très copieux. Nous ne buvons pas de café, mais ici boire un café est un vrai rituel (voir photo).
21 décembre
Après le petit déjeuner, direction le volcan POAS en bus.
Trajet aller environ: 1h10. Tarif : 1180 CRC aller/retour/pers soit 3,2€. Entrée du parc 17 dollars/pers.
Le volcan POAS figure comme ayant le plus grand cratère du monde. L’un des volcans les plus spectaculaire du Costa
Rica avec ses 2704 mètres d’altitude, il est situé à 37 km de San José dans la vallée centrale. C'est un stratovolcan très actif avec 39 épisodes d’éruption depuis 1828 et est en ce moment dans une activité dite lente ou moyenne.
L'accès est régulièrement fermés un de ses cratères contient un lac d’acide au couleurs émeraude et qui projette de temps à
autre des vapeurs sulfurées toxiques. L’autre cratère contient un lac d’eau froide qui se connecte au Rio ANGEL.Un bus
public part tous les jours à 9h00 de la gare routière d’ALAJUELA. Le bus s'arrête quelques kilomètres avant l'entrée du
parc pour acheter nos billets pour l'entrée et nous enregistrer.
Puis, il nous dépose à l'entrée du parc, nous marchons moins d'un kilomètre jusqu'à la maison du parc. On nous appelle, ils forment un groupe d'une vingtaine de personnes, nous donnent à chacun un casque de chantier de la même couleur (blanc). Quand un autre groupe en casque rouge revient du sommet du cratère notre groupe se met en route encadré par un garde du parc. Arrivée aux abords du cratère, le garde nous demande de stopper. Nous attendons que le groupe coiffé de casque bleu redescende pour que nous puissions faire les derniers mètres qui nous séparent des barrières afin d'observer le cratère du volcan POAS. Nous sommes autorisés à rester seulement 20 minutes à observer le volcan et uniquement dans la zone délimitée par les barrières, sous la surveillance des gardes du parc national. Nous n'avons pas profiter pleinement du spectacle, en raison d'un vent violent et de la couverture nuageuse. Nous avons quelques petites fenêtres d'éclaircies où nous voyons des fumerolles, une partie de l’immense cratère. Le temps écoulé, nous devons redescendre à la maison du parc où nous rendons le casque, puis nous retournons à l'entrée du parc attendre notre bus. Nous attendons le bus encore une heure avant de repartir pour ALAJUELA où nous arrivons vers 15h00. Les huit autres personnes qui ont fait les trajets en bus et la visite avec nous sont comme nous très déçus. Nous sommes partis presque 6 heures de ALAJUELA, pour rester seulement 20 minutes au bord du
volcan à l'observer et payer l'équivalent de 40 euros pour l'entrée et le trajet en bus pour deux. Sur les guides, ils indiquent des
randonnées, dans le parc mais elles étaient toutes interdites.
Le soir nous mangeons au marché avec une enseignante Italienne rencontrée à l'hostel un Casado. Le plat est différent de celui mangé la veille, il comporte un ingrédient supplémentaire de la pomme de terre.
SAN JOSE du 22 au 23 décembre
Après un bon petit-déjeuner, nous quittons l'hostel vers 9 heures. Notre bus urbain pour SAN JOSE part à 9 h15 (600 CRC/pers soit environ 1,6 €), nous arrivons 30 minutes plus tard.
Hébergement : Hôtel QUINTANA AVENIDA 16000 CRC soit 23€ la nuit, sans petit-déjeuner, avec salle de bain privée et climatisation, (beaucoup de caméras de surveillance sur le moniteur de la réception plus de vingt images).
L'hôtel se trouve près des différentes stations de bus nationaux ou internationaux. Avant de commencer la visite de la capitale, nous allons acheter nos tickets de bus pour CAHUITA sur la côte CARAÏBE, le ticket coûte 5125 CRC/pers, soit 7,5€. Nous nous renseignons aussi pour les trajets suivants (CAHUITA-SANTA HELENA via SAN JOSE) le 27 décembre.
Les renseignements pris nous commençons par le centre-ville avec la cathédrale METROPOLITANA, l'église MERCED, le
GRAN HOTEL du COSTA RICA et le théâtre National. Nous sommes le dernier samedi avant NOËL, les rues commerçantes dont l'Avenue Centrale sont noires de monde, comme dans tous les pays où l'on fête NOËL, les gens sortent acheter les derniers cadeaux et la nourriture pour les fêtes. Le midi nous mangeons au marché central (MERCADO CENTRAL) un casado au poulet. L'après-midi, nous allons voir successivement, le musée National du COSTA RICA, le quartier ARENJUEZ, le Ministère des Affaires Étrangères où nous voyons un morceau du mur de BERLIN. Pendant nos déplacement nous traversons les parcs : SIMON BOLIVAR, le NATIONAL, le MORANZA et le jardin de PAZ.
Une journée nous a suffit pour nous faire une idée de la capitale. Nos prochaine étapes seront des parcs nationaux et la découverte de la faune et la flore locale.
CAHUITA du 23 au 27 décembre
Le 23 décembre
Notre bus part a 10 heures, à la gare routière nous rencontrons un couple Franco-Allemand, ils vivent à FRANCFORT. Elle est française et travaille chez AIRBUS et lui pour la compagnie aérienne ALLEMANDE, ils voyagent trois semaines à travers le pays.
Avant PUERTO LIMON sur la côte ATLANTIQUE, nous traversons d'immenses plantations de bananes et d'ananas, nous voyons aussi énormément de containers frigorifiques et de camions aux noms de multinationales Américaines. Ces compagnies inondent de leurs fruits l'Amérique du Nord et l'Europe.
Nous apprendrons quelques jours plus tard d'un Costaricain que ces cultures sont loin d'être aussi BIOLOGIQUE qu'on veut nous faire croire (le COSTA RICA n'est pas aussi écologique qu'ils veulent le faire croire au reste du monde). Ces immenses champs sont au milieu de forêt humide, donc pour obtenir ces champs, ils ont eu recourt à la déforestation (comme en
MALAISIE ou THAÏLANDE pour l'huile de palme). Ils pratiquent la monoculture, pas de rotation des cultures donc au fil des ans la terre s'appauvrit. Pour avoir des rendements corrects, ils déversent de grandes quantités d'engrais et surtout font pleins de traitements désherbants et pesticides. Avec le ruissellement des eaux de pluies, les produits de traitement et les résidus d'engrais polluent les nappes phréatique ou finissent dans les cours d'eau et se déversent dans la mer entraînant la destruction de la faune marine (mort du corail et des poissons....), des employés aussi tombent malades. Dixit notre interlocuteur le gouvernement fait l'autruche et la sourde oreille, il y a trop d'intérêt économique et touristique et surtout l'image du pays pourrait en pâtir.
Notre bus fait une halte de 20 minutes à PUERTO LIMON, nous arrivons à CAHUITA à 14 heures 10, le terminus du bus étant PUERTO VEIJO.
Hébergement: Camping ROOM SHARLTON, 13 250 CRC/nuit, nous occupons une des 3 chambres double (19,4 €) dans une maison avec cuisine et SDB commune. Chambre simple mais propre, très bon accueil, calme, pas de climatisation à 100 mètres de la mer (nous recommandons). Ils ont aussi des toiles de tentes.
Regardez la dernière photo de CAHUITA, c'est l'installation de la douche que nous avions. Equipement vu dans d'autres pays, attention ne pas toucher les fils, si vous ne voulez pas finir comme CLAUDE FRANCOIS.
NOTA : Nous voulions réserver au SECRET GARDEN, cette guest est bien située, elle est tenue par un couple de jeune Français, ils sont passé dans zone interdite sur M6, le thème était, ils ont changé de vie. Malheureusement l'établissement était complet. Pendant notre séjour, pendant un des trajets en bus au retour du parc national, nous avons vu et parlé avec le propriétaire.
Comme souvent, après l'installation nous effectuons quelques courses puis nous allons mangé au village. Le repas pris, nous parcourons les quelques rues de CAHUITA. Nous avons la chance de voir deux paresseux, le premier est à côté de l'entrée d'un hôtel, il est au pied d'un cocotier, nous le voyons monter lentement et disparaître dans l'arbre. Le second dort dans un arbre sur le chemin du retour.
Le 24 décembre
A 8 heures, nous sommes devant l'entrée du parc National. Ouvert tous les jours de 6h à 17h.
A l'entrée par le village de CAHUITA : contribution volontaire par le biais d’un don.
C’est le seul parc du pays qui soit géré en partie par la communauté et dont le droit d’entrée (à Kelly Creek) est laissé à
l’appréciation de chaque visiteur.
La seconde entrée par PUERTO VARGUAS: 10 US$/personne.
Pour lutter contre la défiguration des côtes, une loi interdit de construire à moins de 150 m de la mer, la pointe au sud de CAHUITA est devenue un parc national en 1978, à l’instar de toute la région au sud de LIMON, classée comme réserve de faune. Au sein de cet environnement, les habitants ont su préserver leur mode de vie, loin des autres TICOS qui n’y viennent d’ailleurs jamais. C’est ce qui fait la différence entre le sud-est du pays et les autres côtes, beaucoup plus fréquentées. Le parc national de CAHUITA commence à l’extrémité sud du village, à l’endroit appelé Kelly Creek, et couvre 1 067 hectares sur terre et 22 400 hectares en mer. C’est l’un des plus beaux sites du pays avec ses plages de sable blanc, ses cocotiers inclinés vers la mer comme sur une carte postale et ses eaux relativement calmes. L’attrait principal de ce parc réside dans le récif corallien qui entoure la Punta CAHUITA ; il est malheureusement menacé par les sédiments (en provenance des bananeraies) et les pesticides que dépose le río Estrella au nord de CAHUITA.
Durant les cinq heures de visite du parc nous voyons : un paresseux, des ratons laveurs, des singes, un iguane, des oiseaux et un caïman.
Si on veut observer de la faune il faut regarder partout, s'arrêter, observer, aucun panneau indique où sont les animaux. Il y a aussi beaucoup de plages et des paysages de rêve.
Arrivée à l'extrémité sud du parc nous rejoignons la route où nous prenons un bus (1000 CRC pour 2 soit 1,4€), ne pas oublié de faire signe au conducteur du bus pour qu'il s'arrête.
En fin d'après midi nous allons nous rafraîchir dans l'océan. Le soir nous prenons le repas du, réveillon au restaurant.
25 et 26 décembre
Au programme des deux jours suivants, nous effectuons une deuxième visite du parc national, tranquille à la maison où nous échangeons comme toujours avec les autres pensionnaires (espagnols, suisses...).
CAHUITA est un village isolé, très agréable et son parc national est celui que nous avons le plus apprécié au COSTA RICA, en raison de par sa faible fréquentation touristique (calme pour le moment) et son authenticité. Dans les autres parcs nationaux où nous irons les jours suivants, nous avons eu l'impression d'être dans des parcs d'attractions.
SANTA ELENA / MONTEVERDE du 27 au 30 décembre 18
Le 27 matin, levée tôt notre bus part pour SAN JOSE à 8 heures 07 de CAHUITA. Nous arrivons à la capitale SAN JOSE à 12 heures 20, changeons de gare routière achetons nos tickets pour SANTA ELENA Coût total des deux trajets 16320 CRC soit
environ 24 €. Nous repartons un peu plus de deux heures plus tard à 14 heures 35. Entre SAN JOSE et SANTA HELENA, il y a 144 kilomètres, ce trajet en bus nous paraît interminable, nous arrivons seulement à 19 heures après 4 heures 25 de route.
Hébergement: Cosy HOUSE, 9300 CRC/nuit soit 13,64€/nuit, avec cuisine et SDB commune. Nous avons réservé un lit double dans une chambre de moins de 8 m², elle se compose donc, d'un lit double et d'un lit superposé. Nous la partageons avec un autre couple de Français EMMA et BENOIT. Eux comme nous ont chacun deux sacs à dos, il reste très peu de place pour bouger dans la pièce, nous avons néanmoins passé un excellent séjour en leur compagnie.
EMMA et BENOIT ont quitté la FRANCE depuis presque sept ans, ils voyagent 9 mois en Amérique Centrale et Sud puis ils iront 1 an au CANADA. Avant ce périple ils ont passé une année au JAPON (ils ont un site : BENOIT et EMMA world tour).
Parmi les autres voyageurs, nous croisons aussi un couple de motards Suisse, ils voyagent pendant quinze mois. Ils ont roulé pendant cinq mois de chez eux jusqu'en MOLDAVIE aller-retour. Pendant les dix autres mois, ils visitent l'Amérique Centrale et Sud jusqu'en Patagonie.
Pendant notre séjour, nous sommes allé, au parc SANTA ELENA : 2$/pers pour le bus et 16$/pers pour l'entrée. Nous avons effectué, le parcours le plus long et une autre petite boucle dans l'espoir de voir des animaux emblématiques autres que 5 ou 6 petits oiseaux. Nous sommes restés dans cette forêt dense et humide à pied trois heures.
Le lendemain, départ 8 heures pour le parc aventure, à notre arrivée au parc il pleut très fort et nous sommes dans la brume. L'entrée coûte 20€/pers, il comporte de plusieurs passerelles au dessus de la forêt.
En raison du mauvais temps, nous nous rabattons uniquement sur le mini parc aux colibris (5$ /pers). Malgré cette pluie, les oiseaux viennent boire le sirop sucré, ce fut l'occasion de les approcher au plus près. Ces oiseaux sont impressionnants, vitesse de déplacement, vol stationnaire, bruit de leur vol, couleurs du plumage... Heureusement nous en avons vu aussi dans la nature, sans qu'ils soient nourris par l'homme.
De retour au village, l'après-midi nous allons aux ficus trees, ce sont trois ficus qui ont poussé ensemble entrelacés. Je suis monté à l'intérieur de l'arbre à plus de 15 mètres de haut.
NOTA : Nous n'avons pas apprécié SANTA ELENA/MONTEVERDE, ce lieu ne correspond pas à l'idée qu'on se faisait du COSTA RICE. IL est tourné vers le sport aventure, grande tyrolienne de près d'un kilomètre, circuit quads, passerelles...en lieu et place, nous serions allé à TORTUGUERO au nord-est du pays près de la frontière avec le NICARAGUA.
PUNTARENAS du 30 au 31 décembre 18
Départ en bus à 6 heures 10 pour PUNTARENAS (moins de 5€ pour 2 pers), nous arrivons après un peu moins de 4 heures de trajet. La plupart des autres passagers ne restent pas, ils achètent un autre ticket et partent ailleurs une à deux heures plus tard. Nous aurions dû faire comme eux, voir la suite. Nous allons à notre hôtel, où je paie pour une fois par ma carte bancaire (heureusement).
Hébergement: ALLAN 28 HOTEL, 28 250 CRC/nuit soit 41,42 € sur BOOKING, nous occupons un studio avec cuisine et salle de bain privé, sur le site elle paraissait être la plus luxueuse au COSTA RICA, ce sera la pire du voyage. A fuir, d'urgence.
La réalité est tout autre : elle donne sur une cour intérieur de dix par dix très bruyante, les enfants jouent jusqu'à tard, avec des douches commune extérieur pour certaines chambres. Il y a eu un problème de canalisation donc pas d'eau entre midi et 20 heures. La chambre n'a pas de fenêtre, il fait 33° à l'intérieur, nous n'avons pas dormi de la nuit, etc...
Cerise sur le gâteau, je me rend compte que le gérant nous a surfacturé le logement. Je vais lui demandé la différence, après de longues de minutes de discussion, malgré les preuves à l'appui, il me rend difficilement la différence. Cet homme est de mauvaise fois et de plus très malhonnête.
L'avis que nous avons laissé deux jours plus tard fut à la hauteur de notre insatisfaction.
Le lendemain en fin d'après-midi, alors que nous sommes à QUEPOS, je reçoit du site de réservation (BOOKING) un message,
indiquant que nous ne sommes pas aller au ALLAN 28 HOTEL. Le montant de la chambre m'est prélevé une deuxième fois. Malgré plusieurs mails avec les preuves du paiement : copie du reçu de carte bancaire à la bonne date, copie du relevé de compte avec les deux montants prélevés.
Des appels téléphonique au siège de Booking en HOLLANDE à notre retour, le site relancera plusieurs fois le gérant, il nous aura fallu trois mois pour être crédité du prix de la chambre sur notre compte. Recherche effectuée le 17 janvier 2020, cet établissement n'est plus référencé sur internet.
Pour nous, cette ville n'a eu aucun intérêt, nous regrettons de nous y être arrêté, nous aurions dû prendre une correspondance pour QUEPOS en venant de SANTA ELENA .
Le Costa Rica c'est aussi cela en pleine ville de PUNTARENAS ( ne vous inquiétez pas nous avons la même chose en FRANCE)
QUEPOS et le parc national Manuel ANTONIO du 31 décembre au 2 janvier 2019
UVITA et le parc national BALLENA du 2 au 5 janvier 19